Cette installation se veut un clin d'œil à l’enfant que nous avons été, animé par la soif de découverte et le besoin de rêver.

Odace Événements saisit toutes les occasions d’investir l’espace public en créant des événements et des happenings où l‘art va à la rencontre des gens. On n’a qu’à penser à RU (anciennement Nuit Blanche sur Tableau Noir), aux expositions photographiques extérieures, et tout récemment à CABANE, un événement en design et architecture temporaire qui a connu un succès fou auprès du public.

Ici, trois grands arbres malades qui ont dû être taillés ont commencé une nouvelle vie en accueillant l’installation intitulée « Interdit aux adultes » : une charmante cabane en bois tout droit sortie de notre imaginaire d’enfant et juchée en hauteur dans l’un d’entre eux, au parc des Compagnons, avenue du Mont-Royal angle Cartier.

« Utiliser le tronc gigantesque d'un arbre mort pour en faire le support d'une œuvre d'art éphémère qui apporte un peu de merveilleux dans un parc urbain, tel était notre souhait, et Odace Événements a répondu à cet appel avec brio. La cabane dans l'arbre, une idée à la fois simple et magique, c'est l'art et la culture qui se manifestent de façon inattendue dans notre quotidien, un hommage à la créativité et à la débrouillardise de l'enfance qui fait rêver. Félicitations aux artistes! » a déclaré Marianne Giguère, conseillère d'arrondissement du district de De Lorimier.

Cette installation se veut un clin d'œil à l’enfant que nous avons été, animé par la soif de découverte et le besoin de rêver. Ici, rien ne manque : l'échelle en bois, les planches bariolées, un vieil aviron récupéré, quelques fleurs des champs pour décorer et bien sûr l'incontournable téléphone en fil et boîtes de conserves.

Réalisée par Odace Événements avec le soutien de l'arrondissement Plateau-Mont-Royal, cette installation qui restera en place hiver comme été est comme un dernier hommage rendu à ce géant végétal. Une sorte de château de notre enfance, un espace de liberté où l'imaginaire est roi… Il suffisait d’y penser !